Dimanche 23 septembre 7 23 /09 /Sep 06:56

Kelcey un autre pétasse blonde, regardez la gicler c'est superbe.
Elle est vraiment trop bonne, j'adorerais jouer avec son gros clito...

 

Par sophietvs - Communauté : Le sexe sans tabous
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Commentaires

joli clito bien baveux et surtout bien équipé de superbes anneaux !! j adore et t accueille dans ma chatte de grosse salope a queue
commentaire n° :1 posté par : mitoro le: 23/09/2012 à 11h06

Humm ma salope et moi je te suce et lèche ta chatte dégoulinante de jus...

réponse de : sophietvs le: 24/09/2012 à 18h40
A force de me goder et d’introduire, dans ma chatte, des objets de plus en plus gros, mon cul est devenu pareil à un puits ! Ma femme qui, auparavant, y introduisait difficilement ses 4 doigts, parvient maintenant à insérer tout son bras !
Mon plaisir anal s’est intensifié à tel point que je parviens à éjaculer sans même me masturber !
Parfois, sans aucune éjaculation, j’arrive à jouir intensément en ayant un orgasme de femme.
Je considère mon anus comme un vagin et mon zizi comme un clitoris !
commentaire n° :2 posté par : lailatvx le: 09/10/2012 à 10h30

Je m'introduis aussi un tas de choses dans le cul allant du petit plug à la bouteille, mais je n'ai pas l'impression que mon cul soit devenu un puits. Il est certainement plus souple et plus facile à ouvrir qu'un trou qui n'a pas l'habitude de ce genre d'exercice...
Comme toi je prends un réel plaisir anal, et il arrive très souvant que je jouisses en me faisant enculer, sans me tooucher le clito. Tu est donc une bonne salope tout comme moi.
Bises et grosses léchouilles partout partout.

réponse de : sophietvs le: 10/10/2012 à 05h41
Travesti Sissy Fisting & Deep Fuck :

http://www.ashemaletube.com/videos/34084/sissy-fisting-and-deep-fuck.html
commentaire n° :3 posté par : lailatvx le: 10/10/2012 à 05h57

Humm superbe vidéo je vais la mettre en ligne, pour toutes les salopes et tous le petits pervers qui matte ce blog.

bises et grosses léchouilles partout à tous !!!

réponse de : sophietvs le: 10/10/2012 à 19h10
Elle suce et fiste son mari :

http://xhamster.com/movies/1150189/fisting_blow_and_rimming_job.html
commentaire n° :4 posté par : lailatvx le: 15/10/2012 à 10h23
Histoire trouvée sur le net:

J'avais 22 ans, et toujours puceau ! Probablement un peu "coincé" avec les nanas ? Je me satisfaisais de films pornos que j'allais voir le samedi soir dans le quartier de Pigalle à Paris. Pour ce faire, je prenais le train et j'arrivais à la gare St Lazare.
Après avoir vu le film de la séance de 22h, je reprenais le dernier train vers 0h 30, et il m'arrivait de me masturber dans le wagon, vu qu'il n'y avait pratiquement plus personne à cette heure. Je fantasmais souvent sur l'idée d'être agressé par un homme, qui m'aurait obligé à le sucer et ça m'excitait assez, sans avoir vraiment l'envie de vivre cette situation.
Ce soir là, j'étais seul dans le wagon quand le train quitta la gare St Lazare. Le voyage durait environ 45 minutes pour rejoindre la gare où je devais descendre. Je commençais à me caresser au travers du pantalon, assez excité par les scènes du film que j'avais vu le soir même. Je baissais ma braguette et commençais une masturbation à travers mon slip. Préoccupé à ce que je faisais, je n'ai pas vu arriver dans mon dos, un homme qui venait probablement de changer de wagon pendant le voyage. En s'adressant à moi, il s'assit sur le siège d'en face : alors mon mignon, on fait joujou avec sa queue ?
J'étais rouge de honte et fermais précipitamment ma braguette en disant une banalité : non, mais ça me grattait, c'est pour ça que…
- Tu ne me prendrais pas pour un con, me dit-il, tu étais en train de te masturber puceau ! Sur ce, il sort un couteau à cran d'arrêt et me dit : tu vas me sucer la bite comme une salope et je te laisse tranquille !
Sur ce, il se lève, défait sa ceinture et baisse un peu son pantalon avant de se rasseoir en slip sur la banquette.
- Tu n'as pas compris ? Précise-t-il en approchant son couteau.
- Mets-toi à genoux, tu vas me sucer la bite !
Mon fantasme allait se réaliser et j'avais vraiment très peur de la situation. Comprenant qu'il ne plaisantait pas, tremblant, je me suis mis à genoux devant lui.
- Allez, embrasse-la doucement sur le slip, tu vas la sentir grossir sous peu !
Je me suis approché et posé mes lèvres sur le slip qui puait l'urine et la sueur et j'ai commencé à embrasser la zone où j'imaginais sa bite que je n'ai pas tardé à sentir se grossir.
- C'est bien petit PD, me dit-il, ne me dis pas que tu n'as jamais fait ça !
- Si, je vous le jure...
- Bon passons aux choses sérieuses, baisse-moi le slip, tu vas découvrir ton sucre d'orge !
Il s'est levé légèrement et j'ai tiré sur le haut de son slip.
- Descend-le un peu plus bas, que tu puisses me caresser les couilles pendant que tu vas me sucer la bite.
J'avais une honte incroyable, mais en même temps, je sentais une excitation imprévisible. Sa bite tendue, faisait au moins 20 cm et très épaisse, avec un gland énorme. J'ai approché ma bouche ouverte et j'ai commencé à le sucer comme je voyais dans les films pornos que j'allais voir.
- Elle est bonne, hein ? Dis-moi qu'elle est bonne !
Ne disant rien, il me donna une claque en me répétant la même chose : alors, elle est bonne ?
- Oui, elle est bonne votre bite, et je reprenais sa queue dans la bouche.
Je bandais comme un dingue et j'espérais qu'il ne pouvait pas le voir ! Mais assis ainsi devant lui, je ne risquais rien.
Je le suçais déjà depuis 5 bonnes minutes quand le train s'est arrêté. J'allais me relever mais il m'a plaqué la tête sur sa bite en me disant :
- T'occupe pas de ce qui se passe et continue à sucer, je ne vais pas tarder à me vider les couilles dans ta bouche de pipeur, et tu vas tout avaler comme une salope que tu es !
J'ai entendu le bruit d'une porte qui s'ouvrait et des voix de personnes qui montaient dans notre wagon. La honte totale pour moi !
- Continue à sucer salope ou tu vas morfler !
J'ai senti qu'il se raidissait puis des giclées de sperme sont venues inonder ma bouche.
- Avale salope, avale tout ! Oui, c'est comme ça, c'est bon hein! Tiens, encore une petite giclée et puis tu vas bien me lécher le gland.
Je suivais tout ce qu'il me disait à la lettre, et en ouvrant les yeux, j'ai vu que 4 jeunes beurs d'une vingtaine d'années nous regardaient. Je ne savais plus quoi faire ni dire; jamais je n'avais eu aussi honte de ma vie. Pris en flagrant délit de tailler une pipe à un homme.
Le gars commença à se rhabiller et en s'adressant aux autres, il leur dit : je vous le laisse, il est bien bon ce petit PD? Salut petite salope, je te laisse entre de bonnes mains !

Je me suis essuyé la bouche et me relevais honteux, j'allais descendre à cette gare, sans même savoir où j'étais.
- Mais où elle va la tante, dit un des beurs ? Attends, tu vas t'occuper de nos bites.
J'ai voulu passer entre eux pour m'enfuir, mais l'un m'a attrapé et m'a ceinturé par derrière.
- On le fout à poil, comme ça il aura moins envie de se barrer, dit un autre.
Deux autres m'ont attrapé par les jambes et le dernier m'a arraché la chemise et le tee-shirt, puis m'a descendu le pantalon et s'est écrié : regardez les mecs, il bande !
Il m'a baissé le slip et enlevé même les chaussettes ; j'étais complètement à poil dans ce train de banlieue et j'allais me faire violer sans aucun doute par ces 4 gars.
L'un a ouvert une fenêtre et a balancé toutes mes fringues.
Mon fantasme était dépassé !! Et j'allais en voir de toutes les couleurs

Je me retrouvais donc complètement à poil dans ce wagon avec les quatre beurs. Qu'allais-je devoir faire, ainsi dénudé avec même plus de vêtements à me mettre puisqu'ils les avaient jetés par la fenêtre.
Le premier s'avança : alors tu aimes sucer des queues ? A genoux, tu vas commencer par moi !
Que dire, ils m'avaient vu et il était inutile de discuter!
Sur ce, il baisse son pantalon et le slip et sort une bite encore plus impressionnante que celle de mon agresseur.
Deux des autres me forcent à me baisser à la hauteur de sa queue et me plaquent le visage sur son bas-ventre ; Je la prends dans ma bouche, n'ayant pas d'autre choix, et entame ma seconde pipe de la soirée. Le troisième passant derrière moi me relève un peu en me disant, je vais t'enculer petit PD et tu as intérêt à te laisser faire sinon ça va être ta fête!
Je sentis sa bite se plaquer contre mes fesses et commencer à me forcer le cul ; Il me pénétra doucement, mais n'ayant jamais eu de rapport, il appuya un peu plus fort et j'ai senti qu'il avait déjà passé son gland et continuait à pousser pour, progressivement, m'enfiler toute sa bite. Puis bien calé jusqu'aux couilles, il commença des va et viens dans mes fesses. J'étais pris des deux côtés à la fois, par des inconnus dans ce train de banlieue ! Puis les deux autres ont sorti également leurs bites et m'ont imposé de les branler.
C'était un vrai viol collectif.
Celui que je suçais m'a dit qu'il allait décharger et que j'avais intérêt à tout avaler son sperme. Et j'ai senti à nouveaux des giclées qui coulaient dans ma gorge. J'ai tout avalé et un de ceux que j'avais branlés a tout de suite pris sa place et j'ai du reprendre une troisième pipe, puis une quatrième pendant que l'autre me défonçait le cul, jusqu'à qu'il décharge également.
Après m'être fait enculer et sucer trois bites, ils descendirent à l'arrêt suivant, me laissant plein de sperme et complètement à poil.
Sans vraiment comprendre pourquoi, je bandais comme jamais et je me suis branlé ; quelques secondes après, je jouissais comme ça ne m'était jamais arrivé ! J’avais aimé ce viol collectif, c'était sûr, et aimé sucer toutes ces bites ! Je n'étais devenu qu'une petite salope !
Mais que faire maintenant pour sortir du train ainsi dévêtu ?
Celui-ci arrivait au terminus et je ne savais toujours pas quoi faire. Après le dernier arrêt, au bout de quelques minutes, j'ai entendu une des portes du wagon qui s'ouvrait.
C'était un contrôleur qui venait s'assurer que tout le monde était descendu.
Il m'aperçut et me dit : qu'est-ce que vous faites, le train ne va pas plus loin, il faut descendre.
En s'approchant, il vit que j'étais à poil. Mais qu'est-ce que vous faites dans cette tenue ?
Je lui expliquai que j'avais été victime d'une agression et que l'on m'avait laissé ainsi sans vêtement.
- Bon, tiens! Tu vas mettre ma veste, et suit-moi, je dois avoir quelques fringues dans une baraque de chantier qui est un peu plus loin.
Je passais la veste et le suivais ; il n'y avait plus personne sur le quai à mon grand soulagement.
- Vas-y, entre ! Me dit-il. Nous étions arrivés à cette baraque.
- Alors, raconte-moi un peu ce qui s'est passé !
J'ai abrégé et simplifié en lui disant simplement que j'avais été obligé de tailler une pipe à un inconnu sous la menace d'un couteau.
Je trouvais qu'il me regardait bizarrement ! Puis il ouvrit un casier. Je n’ai pas grand chose en vêtement, mais ce sera toujours mieux que rien ; Et il me sort une jupe et un chemisier.
- Je ne vais pas mettre ça, lui dis-je !
- Ecoute, je n'ai rien d'autre ! Alors c'est ça ou tu repars à poil !
Je passais donc les vêtements et son regard changea à nouveau. Je le vis fermer à clef la porte d'entrée et il me dit : tu sais que tu es bandant ! Tourne-toi pour voir !
Contre mon gré, je me tournai et il en profita pour me mettre une main sur les fesses. Ça va recommencer !
Soudain, il me dit : ton histoire m'a excité, tu vas me sucer et je vais bien m'amuser avec toi avant de te laisser partir. Allez, reprends la position et suce-moi bien la bite, tu as une vra
commentaire n° :5 posté par : lailatvx le: 15/10/2012 à 10h24
Superbe video... J'adorerais jouer avec elle, et avec toi aussi !!!
commentaire n° :6 posté par : paco le: 24/10/2012 à 06h12

humm merci paco c'est gentil. bises

réponse de : sophietvs le: 30/10/2012 à 05h27
J'étais jeune quand j'ai commencé à aimer la lingerie féminine et à vouloir la porter. J'étais dans une famille de femmes, j'ai passé mon enfance à voir le linge étalé sur les séchoirs: des vêtements, des draps, bien sûr, mais aussi et surtout des soutiens-gorge, des culottes, des porte-jarretelles, des gaines et encore...... J'étais fascinée par cet univers féminin. Je crois que c'est vers 12 ou 13 ans que j'ai eu pour la première fois envie d'essayer la lingerie des mes soeurs ou de ma mère. Je ne me souviens plus exactement de la première fois, mais je crois bien que c'était à la mer et c'était des maillots de bain, essayés en cachette, dans une cabine.

Je me rappelle seulement le plaisir éprouvé, la douceur sur mon corps. Le soutien-gorge était évidemment la pièce préférée, celle qui sanctionnait la féminité. Et je me rappelle aussi qu'une de mes premières envies a été celle de me faire voir par un copain. Drôle de chose, puisque je ne suis pas exhibitionniste et ne me montre pas en public, habillée en femme. Mais j'avais envie de cela. J'ai alors choisi un copain. Je le trouvais le plus mignon. Je n'avais pas très bien conscience de ce que ça pouvait être la sexualité, mais je le trouvais vraiment mignon et, tout aussi naturellement, c'est à lui que j'ai fait ma proposition. Je l'ai appelé, l'ai convaincu à laisser un moment les copains, je l'ai emmené à la cabine: "Qu'est-ce que tu veux?", dit-il un rien agacé. "Tu devrais voir comme je suis bien avec ce maillot", lui dis-je en lui montrant un bikini qui devait appartenir à une amie de mes soeurs. Pas de chance: "C'est pour ça que tu m'a appelé? Je m'en fiche !" a été sa réponse. J'ai été honteuse et déçue.

Cela a servi au moins à me mettre sur mon chemin. Oublié le copain, je savais quand même une chose: j'aimais porter la lingerie féminine. C'était déjà quelque chose. J'ai commencé à l'essayer très souvent, à la maison, en cachette, le plus souvent, enfermée dans la salle de bain.

On arrive à mes 14 ans. Il fallait quand même aller au-delà de quelques essayages. Au collège, j'étais dans une classe de garçons. Beaucoup devaient être assez précoces ou au moins très "travaillés" par leur sexualité naissante. Souvent, certains d'entre eux caressaient les fesses des copains et il fallait se rebiffer: évidemment, les vrais mecs ne se laissaient pas caresser les fesses, sinon on passait pour pédé. Les premières fois, je ne me suis pas laissée faire. Un jour, par contre, le garçon qui était assis à coté de moi a commencé à me caresser les fesses: cela me plaisait beaucoup et je l'ai laissé faire. Cela s'est su tout de suite, puisque j'ai entendu quelqu'un dire: "Ce pédé (donc moi) se laissait peloter les fesses et ça lui plaisait". Bref, une trentaine de garçon connaissaient mon inclination.

Parmi eux, il y avait Ali. On habitait à vingt mètres de distance et on étudiait souvent ensemble, soit chez moi, où il y avait souvent quelqu'un, soit chez lui, où il n'y avait personne jusqu'à sept heures du soir. Ali devait bien savoir, comme les autres, que j'avais accepté de me faire caresser les fesses, donc il n'a pas hésité à me mettre les mains sur le derrière quand on était ensemble, seuls, pour "étudier". Les premières fois, là encore, je me suis rebiffée, un peu pour la crainte de tout adolescent au passage difficile vers une sexualité accomplie et un peu pour une sorte de réticence toute féminine (le "bon sens commun" dit que les femmes, la première fois, se refusent toujours...).

Mon refus n'a pas tenu longtemps. Après quelques jours (on allait vers le printemps), Ali avait pleinement le droit de me caresser les fesses et il ne s'en privait pas. Il essayait même de me forcer à lui caresser son sexe, probablement dressé sous son pantalon. Là aussi, j'ai commencé par refuser. Il fallait avancer par petits pas. Ali semblait finalement d'accord, même si tout cela arrivait sans qu'on échange un mot ou presque: pour lui aussi, plus jeune de quelques mois, il s'agissait d'une découverte absolue.

Mais nous étions en chemin, le but (même si nous n'en étions pas tout à fait conscients) était fixé. Il fallait, tout de même, encore une étape intermédiaire: Ali ne se contentait plus de me caresser les fesses, mais il se mettait derrière moi pour frotter son sexe dressé contre mon derrière. On gardait nos pantalons, mais malgré cela, j'étais mouillée et lui aussi, je crois. On approchait du dénouement.

Bien plus tard, nous étions chez moi, dans ma petite chambre. Nous avions recommencé nos attouchements. A un certain moment, j'étais couchée à plat ventre sur mon lit, Ali était sur moi, frottait son sexe contre mes fesses. Jusqu'alors, Ali avait toujours pris l'initiative, cette fois-là, ce fut moi. J'étais prête, évidemment, même si je n'en étais pas totalement consciente. Tandis qu'il se frottait contre moi, je lui dis: "Relève-toi un instant !". Je me rappelle que je me suis retournée vers lui, qui s'était mis debout, et j'ai le vague souvenir d'une expression de surprise sur son visage. J'ai dégrafé mon pantalon, je l'ai baissé, je me suis recouchée à plat ventre. Derrière moi, je l'ai entendu, encore debout, dégrafer son pantalon. Il a sorti son sexe, il a baissé mon slip, il s'est couché sur moi et m'a pénétrée. Je me rappelle une merveilleuse sensation. J'ai joui presque tout de suite. Il m'a fait l'amour, il a joui en moi.

On était devenus des vrais amants. Les jours suivants, il y a eu à nouveau des tiraillements. Ali voulait que je prenne son sexe dans ma bouche, mais je n'étais pas d'accord ou, plutôt, je n'étais pas prête. Cela a duré seulement quelques jours, puis toute réticence de ma part a disparu: une après-midi, je me suis agenouillée près de lui, j'ai dégrafé son pantalon, j'ai sorti son sexe. Je l'ai sucé. Il a joui dans ma bouche. Son sperme était un peu acide, je l'ai bu quand même.

Finalement, le rapport était complet. Il était l'homme actif, j'étais la passive. Chacun était donc dans son rôle. Il ne me restait plus qu'une chose à accomplir: réunir ma passion pour la lingerie féminine à notre relation sexuelle. Ce fut assez facile, puisque bientôt je pris l'habitude, quand j'allais chez lui, de mettre sous mes vêtements de garçon la lingerie "empruntée" à ma mère et mes soeurs. Je ne sais pas s'il appréciait. Il ne disait rien. Seulement quand j'avais des choses moins courantes, comme un porte-jarretelles, il le remarquait avec un simple: "Oh, ma chérie !". Rien de plus. Parfois, il avait du mal à dégrafer mes affaires. Je me rappelle une fois, quand je portais une gaine noire de ma mère avec des bas: j'ai du l'aider, dégrafer les jarretelles pour qu'il puisse me prendre. Tout cela était très beau.

Ali a été mon amant (mon seul amant!) pendant six ans. J'étais heureuse avec lui. Je me sentais très femme avec la lingerie, même si je ne me suis jamais habillée complètement en femme avec lui (ceci a été un plaisir réservé aux amants suivants). Quand il avait une copine, il me délaissait un peu, mais il revenait toujours. Notre rapport est terminé quand il a rencontré la fille destinée à devenir sa femme.

Je n'ai pas vu Ali depuis plusieurs années. Je ne sais plus rien de lui. Je crois que si un jour je pouvais le rencontrer, je ne me refuserais pas à lui. Mais ce serait à lui de me faire la cour, comme autrefois. De toute manière, je ne l'ai jamais cherché et je garde de lui un très bon souvenir: il a été mon premier amant, il a pris ma virginité, il m'a mis sur le chemin de la féminité. Eh oui, mon Ali chéri, décidément, tu étais très bien !
commentaire n° :7 posté par : lailatvx le: 30/10/2012 à 07h30
Humm qu est ce que tu m'excites , J'ai trés envie de toi tu es tellement bandante
De ou es tu stp
bises partout
commentaire n° :8 posté par : retraitebm02 le: 06/12/2012 à 19h19

Moi aussi j'ai bien envie de ta grosse queue.

je suis du 51 pas très loin de chez toi...

Bises partout et grosse léchouille sur ta bite !

réponse de : sophietvs le: 07/12/2012 à 19h34
merci de ta réponse Je vais parfois sur Reims, la journée Je peux m'eclipser 1 heure ou 2 ( suis marié) Poss t y rencontrer?
Hier j étais à Reims y ai rencontré un petit vieux aux urinoirs de la FNAC Il m'a amené aux toilettes du hall de l'hotel Best western Humm qu estc e qu il suçait bien ce vieux cochon, me suis régalé! Bises
commentaire n° :9 posté par : retraitebm02 le: 08/12/2012 à 11h50

Pourquoi pas je suis aussi souvant dans l'Aine et je m'exhibe parfois vers vauclere.Bises

réponse de : sophietvs le: 11/12/2012 à 06h15
super on peux re retrouver vers VAUCLAIR un apres midi vers15h? mon mail est alinko1@hotmail.fr
suis aussi sur www.nethomo.com sous speudo vieuxsansslip aussi sous retraitebm02
commentaire n° :10 posté par : retraitebm02 le: 11/12/2012 à 08h15

Ce sera avec plaisir, je pourrai te sucer et tu me prendras avec ta grosse queue comme une chienne sur le capot de la voiture...

réponse de : sophietvs le: 27/12/2012 à 20h02

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