Le blog de sophietvs
Un grand merci à Ortis pour sa dédicace, d'avoir pris la peine de souiller ma face de pute.
Ca m'a tellement excitée, qu'il a fallu que je me calme,
un gode dans le cul en me touchant comme une folle...
N'hésitez surtout pas à faire comme lui !
Plus il y a de foutre sur moi, plus je suis heureuse.
Je ne suis vraiment quune grosse chienne lubrique...
Sam 31 aoû 2013
2 commentaires
Delicious tribute Sophie sweetheart
carlos - le 31/08/2013 à 07h51
Après la fameuse première fois avec Rachid, l’amant de ma mère, rien n’a plus été comme avant. Cette étrange mésaventure a complètement brouillé l’idée que je me faisais de ma personnalité, de ma sexualité… A la fois, j’avais honte et je ne me reconnaissais pas dans ce « garçon » traité comme une fille et forcé à la soumission. Et d’un autre côté, je n’avais jamais eu autant de plaisir. Bien sûr, je me répétais que je ne rêvais que de pouvoir enfin faire l’amour avec une fille. Mais les nuits suivantes, lorsque je glissais nu dans mon lit, les caresses du drap sur mes fesses m’excitaient. J’imaginais que c’était les mains de Rachid. Je me caressais alors moi-même les fesses, puis mon petit trou…et invariablement, je finissais par me branler, en me ramonant l’anus avec un ou deux doigts, et en me représentant Rachid en train de me défoncer tout en m’insultant.
Bien sûr, je me suis arrangé pour ne plus croiser Rachid : je ne quittais plus ma chambre dès que je l’entendais rentrer, sauf nécessité, pour aller aux toilettes et je ne manquais pas de fermer le verrou intérieur, pour « conserver mon intimité ».
Mais une semaine, jour pour jour, après que Rachid a abusé de moi, j’ai entendu des pas lourds s’approcher de la porte de ma chambre, et j’ai vu la poignée tourner. La voix de Rachid retentit alors, rythmée par des coups de poings sur la porte :
-Ouvre P’tite pute, j’ai à te parler !
-De quoi ?
-T’occupes, je suis ici chez moi et je vais où je veux, tu m’entends.
Sa voix était si autoritaire que je me suis immédiatement dirigé vers la porte, les jambes flageolantes, et j’ai retiré le verrou. La porte s’est immédiatement ouverte sur un Rachid tout énervé.
-Bon j’ai réfléchi après à propos de l’autre fois.
-Mais…
-Ta gueule, ne m’interromps pas ! Tu ne crois tout de même pas que je vais laisser une lopette faire la loi chez moi ! J’ai réfléchi, je veux bien te garder, mais il va falloir que tu règles une sorte de loyer !
-Quoi ?
-Oui, ce sera, comme qui dirait, un loyer hebdomadaire : Tous les jeudis, à partir d’aujourd’hui, tu seras la petite pute de tonton Rachid, t’as compris ?
-Mais…
-Ta gueule ! On est jeudi justement, alors tu vas commencer aujourd’hui. Et comme je suis quand même gentil, regarde, je t’ai apporté une tenue de travail !
Il jeta sur mon lit la pile de vêtements qu’il avait sur le bras.
-Je te donne 20mn pour te préparer ! Et t’as intérêt de te faire jolie sinon gare !
Je restais devant lui, abasourdi.
-Ah oui au fait, je veux aussi que tu sois propre ! Je t’ai laissé une poire à lavement dans les toilettes, tu sais t’en servir ?
-Euh, oui je crois…
-Bon très bien, dépêche-toi ! Et quand tu es prête, tu me rejoins au salon !
Encore une fois je me retrouvais désemparé, j’ai fait ce qu’il m’a demandé, je suis passé sous la douche et j’ai mis les vêtements qu’il avait apportés. En fait de vêtements, il y avait un porte-jarretelles noir, et des bas que j’ai enfilés. Cela me faisait un drôle d’effet, la caresse de ces bas sur mes cuisses. Je me disais que les femmes devaient se préparer ainsi avant les rendez-vous galants. J’ai enfilé le slip noir en dentelles : c’était un string. Je me suis contemplé devant le miroir, c’est vrai que mes petites fesses étaient belles, soulignées par ce petit triangle de dentelle qui pointait vers ma raie, semblant indiquer : « c’est là que cela se passe ! ». J’ai ensuite mis la robe en satin (ou était-ce une nuisette ?), qui me caressait agréablement la peau. Et j’ai complété ma tenue par la perruque blonde qu’il avait jointe au « déguisement ». Et là, il se produisit quelque chose de bizarre : la silhouette que je contemplais dans la glace n’était plus moi. Je me suis amusé à me trémousser au son de la musique devant la glace, cette blonde était gracile et sensuelle. Je me suis caressé les seins, ma peau était douce, je m’excitais moi-même. Je pouvais le constater en passant une main sur mon micro slip, il était tendu comme un arc, tellement que je me faisais moi-même bander.
-Eh bien, elle s’amuse toute seule la petite salope !
Rachid venait de rentrer dans ma chambre.
-Hmmm, t’es belle comme cela, tu sais ! Mais vas-y, ne te dérange pas pour moi, continue à danser !
Je n’eus pas le temps de réagir, Rachid était déjà derrière moi, m’étreignant tout en contemplant mon visage en regardant dans le miroir au-dessus de mon épaule. Il me plaqua une main sur un sein et l’autre sur le sexe qu’il caressa de la paume à travers la mince étoffe.
-Oui vas-y, danse, remue tes petites fesses ma belle !
Pour une fois, il était assez doux, et mon déguisement semblait lever mon inhibition. Je devenais une autre, une qui était terriblement excitée par le sexe qu’elle sentait grossir contre ses fesses. Je me mis à onduler de la croupe, et à monter et descendre mon petit cul le long du zob de Rachid, comme si je voulais le branler avec mes petites fesses. Je voyais dans la glace une danseuse sensuelle, s’adonnant à la danse sur la barre de Rachid. Et cette danseuse me faisait bander à en faire craquer ce petit slip qui m’enserrait le zizi. Rachid passa sa main sous ma robe pour remonter à nouveau vers mon zizi.
-Oui, t’es très excitante ma petite chérie comme cela. Plus excitante que ta mère !Tu sens comme tu me fais bander ma petite cochonne !
Cela je ne pouvais pas l’ignorer ! Pas plus que la caresse de ses mains, l’une sur mon mamelon gauche, devenu dur comme de la pierre, et l’autre qui poursuivait sa caresse le long de ma tige. C’était insupportablement bon. Je tentais de retenir le désir qui montait le long de ma queue, inexorablement, comme tirer par la main experte de Rachid. Mais rien n’y fit, je sentis un jet gluant maculer ma culotte au moment même où la main se posa sur mon gland.
-Mais c’est qu’elle mouille la petite salope, regarde-moi cela, comme c’est tout gluant !
Rachid se frottait à mes fesses de plus belle, en massant mon gland gluant à travers mon slip. La caresse devenait insoutenable, d’autant plus que ses amples mouvements entraînaient la ficelle du string. Celle-ci allait et venait entre mes fesses, lubrifiée par ma propre mouille. Je sentais ma petite pastille s’ouvrir pour mieux profiter de cette caresse fortuite. Je sentais le corps de cette femme m’échapper complètement. Mon gland tendu, sur mon sexe décalotté, était devenu un clitoris que Rachid s’appliquait à caresser encore et encore. Ce corps qui se trémoussait langoureusement était maintenant agité des secousses désordonnées du plaisir féminin. Seul Rachid qui me maintenait de plus en plus fermement entre ses bras semblait garder le contrôle. Et moi, devenu ELLE, semblait ravie de pouvoir s’abandonner dans des bras viriles et rassurants.
-T’es belle quand tu jouis ma petite salope ! Et tu m’excites aussi avec ton petit cul tout dur, tu sais ! Tu seras ma chérie préférée, tu prendras la place de ta mère !
Il remonta plus haut ma robe pour découvrir mes hanches.
-C’est la grosse bite de Rachid dans ton petit cul que tu veux hein ? Attends, je vais te prendre sur ton bureau !
D’un geste puissant, il me poussa entre les omoplates, tout en maintenant mon petit cul collé à sa bite. Mon buste s’affala sur mon bureau.
-Oh oui, je vais te le prendre ton petit cul ma belle salope comme j’ai pris celui de ta mère !
Il approcha la chaise et me posa un pied dessus. J’étais manipulée comme une poupée, mais cela me plaisait assez. En jetant un œil au miroir légèrement derrière moi : Je vis un petit cul de rêve découvert par une robe relevée jusqu’aux hanches. Me voir ainsi me faisait bander encore plus. J’aurais presque aimé être à la place de Rachid pour pouvoir enfoncer ma bite entre ces fesses magnifiques ! Mais à vrai dire, cela c’est ce que réclamait ma queue, parce que mon petit cul, lui, désirait toute autre chose. Et je sentais que ce vieux vicieux allait me le donner ;…Je le vis descendre le zip de sa braguette, sa belle verge jaillit, toute raide. Il écarta la ficelle de mon string. Ma position ouvrait mes fesses et découvrait complètement mon petit trou. Il le caressa de son pouce en utilisant ma mouille pour le lubrifier.
-Ah, si tu voyais ton petit œillet en étoile, ce n’est pas possible, il a été fait pour accueillir des bites !
Sa caresse m’excitait terriblement, je me cambrai davantage, offrant complètement mon trou (mon vagin ?) à son pouce qu’il fit rentrer sans difficulté. Il fit alors coulisser son doigt, tout en effleurant mes boules et mes fesses de sa grosse paluche. Cela me rendait fou !
-Hmmmm, oui, oh oui !
-Tu es chaude toi, plus chaude que ta mère ! Regarde-moi cela comme tu agites tes petites fesses sur le gros doigt de Rachid. C’est bon ça hein !
-ouiii, ouiii, c’est bon !
Je me trémoussais pour qu’il enfonce son doigt au plus profond de moi. Ce qu’il faisait maintenant sans ménagement. Mon trou était tellement ouvert et lubrifié que son gros pouce coulissait sans problème. C’était bon ! Il y mettait tellement d’ardeur, que parfois, la pince de sa main puissante me soulevait du sol, m’obligeant à me cramponner à ma table de travail. Mais même cette brutalité me plaisait ; cette impression fugace de tomber, de m’abandonner totalement à la force brutale de l’amant de ma mère, qui me ramonait de main de maître. Mais, j’étais tellement ouverte,